mercredi 12 octobre 2011

Vendredi 14 Octobre 20 h 00

Soyez nombreux à la réunion du 
vendredi 14 octobre à 20 h 00 
à l'école de Kerisbian

lundi 20 juin 2011

Nous les soutenons: CLIS EN DANGER ! ÉCOLE EN DÉTRESSE !!!

Message de l'école du Questel - Cavale Blanche


CLIS EN DANGER ! ÉCOLE EN DÉTRESSE !!!


Mobilisons nous tous Mardi 21 Juin à 17H  (devant la banderole à l'école)

  1. Pour maintenir les conditions d'accueil des enfants de la CLIS
  2. Restrictions budgétaires
  3. Moins de temps éducatif au quotidien
  4. Dégradation de l'intégration dans les classes ordinaires
  5. + de mal être des enfants et des familles
  6. Avec une obligation législative d'inclusion dans des classes ordinaires surchargées

VENEZ NOMBREUX DEMAIN POUR NOUS SOUTENIR.
Nous comptons sur votre présence !!!

Réunion du 23 juin à 20h

L'avenir de l'école publique se décide aujourd'hui.
Nous vous proposons de nous retrouver pour élaborer ensemble de nouveaux textes pour interpeller l'Inspection d'Académie, informer les citoyens, alerter les médias et préparer la prochaine rentrée.
Rendez-vous à la salle de spectacle du Centre Social de Kérangoff à Brest, jeudi 23 juin à partir de 20h.
Plus nous serons nombreux, plus les idées seront riches et chacun pourra faire profiter les autres de son expérience.
Retrouvez ci-après nos correspondances:



Lire le courrier adressé à Monsieur le maire François Cuillandre


Lire le courrier de M. Marc Sawicki

mercredi 15 juin 2011

Papillons Blancs du Finistère: Il y a urgence!!

Retrouver le billet d' Intersyndicale Papillons Blancs du Finistère ici



mardi 24 mai 2011

Carte scolaire du 1er degré : l'AMF demande l'arrêt des suppressions de postes


 
A la demande du Bureau de l’Association des maires de France, Jacques Pélissard va saisir le gouvernement afin de contester la méthode d’élaboration de la carte scolaire 2011 et demander qu’une analyse objective des besoins scolaires soit effectuée préalablement à toute décision de réductions d’effectifs.
En effet, les maires font part de leur vif mécontentement au regard de la réduction de 8 967 postes de personnels enseignants du 1er degré en 2011. Elle aura pour conséquence la suppression de 1 500 classes, en milieu rural comme en milieu urbain, sachant que la réserve de remplaçants a déjà été fortement réduite depuis la rentrée précédente, que 379 postes de Rased seraient également supprimés et alors que 4 900 nouveaux élèves sont attendus.

Les maires contestent aussi les conditions de concertation engagées localement par les inspecteurs d’académie, d’autant plus que les critères d’appréciation retenus pour l’élaboration de la carte scolaire varient sensiblement d’une académie à l’autre.

Les maires déplorent notamment l’absence d’application par les inspecteurs d’académie de la Charte sur les services publics en milieu rural de 2006 qui prévoit que les maires des communes rurales soient informés par les autorités académiques deux ans avant tout projet d’ouverture ou de fermeture de classes.

Ils regrettent également l’interprétation très restrictive de la comptabilisation des enfants de moins de trois ans dans les effectifs, y compris dans les zones défavorisées.

Par conséquent, le Bureau de l’AMF demande au ministre de l’Education nationale :
- de mettre fin à la poursuite des suppressions de postes dans le primaire engagées par le gouvernement ;
- de clarifier le concept « d’environnement social défavorisé » ouvrant droit à la scolarisation des enfants de moins de 3 ans, suite à la demande adressée au ministre sur cette question en février dernier ;
- de rappeler aux inspecteurs d’académie la nécessité d’appliquer correctement les modalités et les délais de concertation inscrits dans la Charte des services publics en milieu rural.


Contacts Presse :

Marie-Hélène GALIN
Tél. 01 44 18 13 59
mhgalin@amf.asso.fr
 
Thomas OBERLE 
Tél. 01 44 18 51 91
toberle@amf.asso.fr
 

      

dimanche 22 mai 2011

Le Télégramme: Carte scolaire. «La casse du système se poursuit»

Carte scolaire. «La casse du système se poursuit».
Pour Erwan Menesguen (au premier plan), «l'institution crée les conditions pour pouvoir supprimer des postes».

Télégramme: Nuit des écoles "L'école en danger"



 
Nuit des écoles. «L'école est en danger».
Le rendez-vous de vendredi soir a été bien suivi et a permis de vérifier la réelle combativité des parents, enseignants, personnels et sympathisants de l'école publique. Un appel avait été également lancé à l'école Paul-Éluard, dans le quartier des Quatre-Moulins, où les parents ont exprimé, par des panneaux, toutes leurs inquiétudes.



samedi 21 mai 2011

Impact économique de la disparition de l'école avant deux ans

L'objectif essentiel de l'école maternelle : aider chaque enfant à devenir autonome et à s'approprier des connaissances et des compétences.
il doit acquérir un langage oral riche, organisé et compréhensible par l'autre. La finalité est de réussir au cours préparatoire." [1]

Cet objectif est à mon (notre) sens l'objectif de tout parent responsable.
Nous sommes convaincus que les suppressions de postes en école maternelle remettent directement en cause la possibilité d'effectifs raisonnables dans les classes et de fait risquent de pénaliser les
objectifs pédagogiques fixés.

Pour la majeure partie des enfants, cet objectif est atteint par une scolarisation aux alentours de leurs trois ans.
Ces suppressions remettent également en cause la possibilité d'une scolarisation avant trois ans : quels en seront les effets ?

Dans certains cas, la possibilité d'une scolarité plus précoce est souhaitable aussi bien pour les enfants que pour les familles.
Même si l'objectif de l'école maternelle est d'ordre pédagogique, la possibilité de ce type de scolarisation précoce permet aussi de répondre à des impératifs financiers essentiels, et plus particulièrement pour
les familles les plus démunies.

En l'absence de possibilité de scolarisation avant trois ans, les familles sont contraintes de trouver un mode de garde pour assurer leurs revenus du travail.
Avant les trois ans révolus de l'enfant, les frais de garde en crèche sont "globalement" couverts par la Prime à l'Accueil du Jeune Enfant.
En l'absence de scolarisation, aux trois ans révolus, les frais de garde net augmentent significativement.

Prenons l'exemple d'une famille monoparentale avec un enfant de deux ans et un revenu familial correspondant au smic.
Les revenus familiaux et allocations diverses s'élèvent donc à :
Smic mensuel net : 1070 € au 1er janvier 2011 [2]
Allocation parents isolés : 748,24 € par mois [3]
Soit au total : 1818,24 € par mois

Avant trois ans, les frais de garde net mensuel de l'enfant en crèche se décomposent comme suit :
Frais de garde pour 858h / mois (39h hebdomadaire sur 22j ouvrés par mois) : 549,12 € [4]
PAJE : 448,25 € [5]
Coût net : 549,12-448,25 = 100,87 €

Aux trois ans révolus, la PAJE diminue et passe à 224,12€ [4]
Le coût net de garde s'élève alors à 325€ net par mois
Les frais de garde passent alors de 5,5% à 18% des revenus familiaux !

Pour un enfant né en octobre, en appliquant la règle stricte de la scolarisation aux trois ans révolus, cette situation peut perdurer jusqu'au mois de septembre de l'année suivante.
Il sera alors agé de 3 ans et 11 mois... autant dire 4 ans.

Ce sur-coût est d'autant plus inacceptable qu'il pénalise d'autant plus les familles les plus démunies.
Comment faire en sorte d'aider l'enfant à devenir autonome si l'éducation nationale le pousse à une précarité financière ?
Comment faire en sorte d'accompagner l'enfant et l'aider à devenir autonome si la politique de suppression de poste le pousse à une précarité financière ?

[1] http://www.education.gouv.fr/pid24321/les-programmes-de-l-ecole-maternelle.html
[2] http://www.les-horaires.fr/pratique/smic-horaire.php
[3] http://www.journaldesfemmes.com/maman/pratique/famille/jeunes-enfants/73/l-allocation-parent-isole.html
[4] http://www.mon-enfant.fr/web/guest/tarification-garde-enfant
[5] http://www.caf.fr/cataloguepaje/GardPajeEmploi.htm

--
Guillaume HAJDUCH
Sauf mention contraire, les informations/données/photos contenues dans cet e-mail sont la propriété de l'expéditeur.
Celui-ci s'oppose par défaut à toute publication de ces données sur Facebook sans son consentement explicite.

TBO- Collectif Ecole en danger de Landerneau



Ouest-France: Pique-nique contre la suppression de postes dans l'éducation

A l'appel de l'associaton des parents d'élèves et du collectif Ecoles en danger, un pique-nique est organisé ce samedi. Des dizaines de parents d'élèves et enfants sont réunis devant la mairie pour ensuite déjeuner sur les berges de l'Elorn. L'objectif: lutter contre la suppression de postes dans l'éducation. A Landerneau, ce sont trois écoles qui pourraient être menacées par la réduction d'effectifs. Pour Erwan Menesgueun, porte-parole du collectif Ecoles en danger à Landerneau, «le but de ce pique-nique est de rénuir toutes les communes, pas que l'on manifeste chacun devant nos écoles». Virgine Salou, une mère de famille, déplore la «dégradation de l'enseignement » à travers ces suppressions et affirme que les parents «ne lâcheront pas. Aujourd'hui il y a une classe de CE2 avec 33 élèves!! C'est beaucoup trop..». 

Le Télégramme: Le réseau de contestation s'élargit




Carte scolaire. Le réseau de contestation s'élargit.
La réunion du collectif a trouvé écho auprès d'écoles landernéennes, brestoises et de Pleyber-Christ. Elles vont désormais coordonner leurs actions pour empêcher des suppressions de poste à la rentrée et, plus largement, sensibiliser sur la dégradation de l'enseignement.

+ d'infos








Evaluation du projet académique 2007-2010 (site de l'IA de Rennes) mentionnant très clairement l'évolution positive des naissances depuis 1995 : petit dossier fort intéressant à lire et donnant des arguments de poids face à une politique de fermetures de classes...

Ils parlent de la mobilisation générale des parents et enseignants

Sauver l'école, c'est élémentaire
 


Une "nuit des écoles" pour protester contre les suppressions de postes

vendredi 20 mai 2011

France Inter: Le téléphone sonne du mardi 17 mai 2011


 Le téléphone sonne avec Alain Bédouet écoutez en cliquant sur le lien suivant:

Education nationale : questions sur les suppressions de postes et fermetures de classes prévues pour la prochaine rentrée...

Invités : - Josette Théophile, Directrice générale des Ressources Humaines du
ministère de l'Education nationale.
- Mathieu Glaymann, parent d'élèves de la FCPE à Epinay-sur-Seine, en
Seine-St-Denis. Il a 2 enfants : un à la maternelle, l'autre en 4ème.
- Roland Hubert, Secrétaire général du SNES, Syndicat national des
enseignements du second degré.
- Avec Sonia Bourhan, de france Inter

A l'affiche ce soir!!


N'hésitez pas à imprimer ces affichettes

Ouest-France

mardi 17 mai 2011

Les parents prennent leurs affaires en main !




Pour protester contre le démantèlement de l'école publique et pour exiger la fin des logiques comptables sur le dos des enfants scolarisés, des parents d'élèves du groupe scolaire de st Marc invitent les parents, enseignants, DDEN, personnes solidaires, et personnels des écoles du quartier : Forestou, Petit Paris, Kerhoas, Pilier rouge et Kerisbian, à une:
« nuit des écoles » 
le vendredi 20 mai à 18 h 00, à l'école élémentaire de Kerisbian 
(rue des 3 frères Vienne)

La colère gronde chez les parents d’élèves depuis déjà plusieurs mois. Ils entendent l’exprimer une fois encore par l’occupation d’écoles.
La FCPE demande au gouvernement, aux députés, aux sénateurs d’écouter les parents et de mettre en place un collectif budgétaire pour l’Education nationale afin que la rentrée 2011 puisse être assurée dans de bonnes conditions.

A côté de sa pétition nationale, la FCPE appelle à des actions et mobilisations pour se faire entendre localement, car l’Education est en danger.
Le 20 mai, à la fin de la semaine des évaluations CE1, dont la FCPE demande l’abandon, des « nuits des écoles » seront organisées sur l’ensemble du territoire avec des débats publics sur le financement de l'Education nationale et la transformation pédagogique de l'Ecole.
Le gouvernement doit entendre cette colère, partagée par l’opinion publique.
Les parents d’élèves ont pris leurs affaires en main !

Continuons à faire signer la pétition (http://petition.fcpe.asso.fr/) !

dimanche 15 mai 2011

Rassemblement à Landerneau Mardi 17 mai à 20h00

Suite à notre dernière réunion, le 1er avril, le collectif « école publique en danger » de Brest est intervenu notamment pour interpeller des décideurs au plan local et national. Nous avons également poursuivi nos échanges avec les groupes d'autres villes du Finistère et de collectifs d'autres départements.

Nous restons mobilisés et déterminés contre les suppressions de postes programmées pour la rentrée 2011, et contre toutes les mesures de dégradation de l'école publique.

Nous souhaitons vous informer que nous nous rencontrerons, entre représentants d'écoles du Finistère, le mardi 17 mai à 20h00 à  Landerneau.

Le but est de partager nos informations et de convenir d'actions futures en vue de résister aux nouvelles suppressions de postes qui risquent de survenir dans les prochains mois. Nous invitons les parents d'élèves et enseignants des écoles touchées, ou solidaires, à se joindre à nous.
La réunion se tiendra à la salle Toull Koch, rive gauche côté Cornouaille (à coté de la place Poul ar Stang à proximité de Marsala pizzeria, ).
Nous proposons un co-voiturage pour le secteur St Marc, Rendez-vous à 19h15 précises sur le parking de l'école Kérisbian, côté maternelle.

 
La nuit des écoles

D'autre part la FCPE appelle les parents à proposer des actions le vendredi 20 mai dans le cadre de "La nuit des écoles" dans les locaux de l'école Paul Eluard, 57 rue Victor Euzen (quartier de St Pierre), à partir de 19 heures.
Les sujets de débats concerneront le primaire et le secondaire pour s'insurger contre les 16000 suppressions de postes programmées pour la rentrée 2011.

Les sujets de débats concerneront le primaire et le secondaire.
Cette nuit des écoles débutera à 19H pour se prolonger dans la soirée.
Il est conseillé d'apporter de quoi se restaurer.


Restons vigilant!

Pour le collectif,

Sud Education 29 appelle à relayer l'initiative de la FCPE : «Nuit des Écoles» : le vendredi 20 mai

Lire l'article qui suit en cliquant sur ce lien

«La nuit des écoles», c’est :
  • Un temps d'information et de discussion avec les parents d'élèves et les élus sur les DANGERS des mesures actuelles concernant l’Éducation Nationale.
  • Un temps de mobilisation et de revendication collective pour l’avenir de l’école.
  • Un temps de rencontre entre enseignants, élus, parents d’élèves, qui peut être organisé en début de soirée ou à la sortie des classes.
«La nuit des écoles» en 3 étapes :

1 - Préparer l’information pour les parents sur les réformes actuelles dans l’Éducation Nationale (voir ci-dessous des éléments pour organiser cette information).
2 - Prévenir la presse locale et nationale, les élus (maires, conseillers généraux et députés) mais aussi les écoles du secteur pour que le mouvement s'étende et soit médiatisé.
3 - Prendre le temps d'échanger collectivement sur l'avenir de l'école.

Lien intéressant intitulé : « Postes dans les écoles : petits oublis et arrangements avec la rigueur. »

mercredi 20 avril 2011

Ouest-France 20-04-201 Ecoles: le coup de gueule de la majorité

Le Télégramme 20-04-2011: Conseil municipal

Notre intervention au Conseil Municipal de Brest - le mardi 19 avril


Nous tenons tout d'abord à remercier M. Sawicki, adjoint aux écoles, d'avoir proposé à notre Collectif d'intervenir auprès de ce Conseil aujourd'hui.
Nous remercions également M. le Maire ainsi que l'ensemble des élus de prendre le temps de nous écouter.

Nous intervenons aujourd'hui en tant que :
- Citoyens de Brest
- Parents d'élèves
- Membres du Collectif "École Publique en Danger"
- Certains d'entre nous sont également parents délégués, élus aux conseils d'écoles donc investis depuis plusieurs mois voire plusieurs années dans la vie des écoles brestoises.

Notre Collectif s'est constitué le 23 mars, avant l'annonce officielle des fermetures de postes, dès l'annonce globale du nombre de suppressions de postes dans le Finistère, à cette date 40 postes étaient menacés.
La volonté première du Collectif était de permettre aux écoles de se regrouper pour faire front commun et peser sur les décisions gouvernementales relayées par l'Inspection d'Académie :

  • - Les fermetures de postes
  • - La scolarisation des enfants de 2 ans (certains enfants n'ayant pas 3 ans révolus et que leurs parents ont décidé d'inscrire à l'école ne seront pas accueillis, faute de places. Hors une inscription à l'école n'est pas du tout la même démarche qu'un mode de garde)
  • - L'inclusion dans les classes dites ordinaires des enfants souffrant d'un handicap et relevant d'une classe pour l'inclusion scolaire (CLIS) alors que par ailleurs, depuis 2005, des enfants handicapés sont déjà inclus dans le système ordinaire, sans bénéficier de moyens suffisants (nombre d'entre eux n'ont pas d'AVS …). Les enfants de CLIS viendraient donc s'ajouter, dans leur classe de référence, à une population scolaire déjà très diverse et à des situations souvent lourdes à gérer.
  • - La diminution des aides apportées aux enfants en difficulté scolaire par des enseignants formés pour répondre à ces besoins.

Le Collectif a, à ce jour, mené plusieurs actions :
  • Nous avons appelé les parents et les citoyens concernés à rejoindre ou à soutenir le Collectif notamment en signant une pétition dénonçant les conditions annoncées pour la prochaine rentrée.
  • Nous avons pris rendez-vous avec M Kervella, Inspecteur de l'Éducation Nationale pour la circonscription de Brest-Est, pour lui remettre les pétitions le mercredi 30 mars. M. Kervella n'était pas présent et au jour d'aujourd'hui il ne s'est pas excusé ni expliqué de cette absence.
  • Nous nous sommes réunis le vendredi 1er avril avant l'annonce officielle des fermetures de postes. 40 personnes étaient présentes et différentes écoles représentées, dont certaines non touchées par les menaces de fermetures.
  • Nous avons pris rendez-vous auprès de Mme Kieffer, Inspecteur d'Académie, qui a refusé de recevoir le Collectif, n'acceptant de voir que les parents concernés par les fermetures.
Pendant toutes ces démarches nous avons cherché à connaître la position des acteurs de la vie publique face à ces problèmes.
Certains élus ont témoigné de leur soutien individuellement.
Mais la violence des attaques subies par l'école publique et l'enjeu pour la société réclament un engagement fort des municipalités, dont la notre.
L'an passé, en Finistère, 3 écoles publiques ont été fermées. 35,5 postes ont été supprimés contre 28,5 créés.
Cette année 40 classes seront fermées et seulement 11,5 ouvertes.
  1. Quels sont les projets d'avenir pour les écoles brestoises ?
  2. Allez-vous continuer à regarder les classes fermer les unes après les autres ?
  3. Doit-on s'attendre à de nouvelles fermetures d'écoles, allant dans le sens de la politique gouvernementale ?
Nous attendons de vous une prise de position et vous demandons de transmettre aux représentants de l'état la pétition signée par les 1000 citoyens brestois.

Notre action ne s'arrête toutefois pas là :
  • Nous sommes en contact avec d'autres Collectifs, localement celui de Landerneau et au niveau national nous participerons le 3 mai à une mise en réseau organisée par le Collectif du Doubs. Nous nous informons de nos actions et nous apportons un soutien mutuel.
  • Nous allons continuer à demander des explications et des chiffres sur les écoles à Brest dans les réunions du PEL (Projet Éducatif Local) même si jusqu'alors nos questions réitérées sur les perspectives d'urbanisation sont restées sans réponses.
  • Nous ne doutons pas que vous serez présents au moment des ajustements annoncés par Mme Kieffer en juin et en septembre lorsque nous défendrons les intérêts de l'école publique.

En vous remerciant encore Messieurs et Mesdames les élus pour votre attention.
Les membres du Collectif "École Publique en Danger"

Appel de Jean-Jacques Hazan à une mobilisation génrale des parents





Nous exigeons l'arrêt de la politique de démantèlement de l'Ecole publique !
Signez et faites signer notre pétition De l'ambition pour l'Ecole
La mobilisation franchit un cap sur le web 2.0 !
Pour ceux qui disposent d’un profil FB (FaceBook), la page de la FCPE est très active depuis ce matin, si vous n’êtes pas encore abonnés, faites-le au plus vite en cliquant « j’aime » sur la page suivante : J'AIME
  
Le texte de la pétition, le dernier communiqué de la FCPE ainsi que des actualités locales y seront postés régulièrement pour faire monter la mobilisation. N’hésitez pas à partager ces actus sur vos propres murs (en cliquant sur « partager » en dessous de chaque article), cela créera du trafic sur notre page et, par extension, sur la pétition et le site de la FCPE.

D’autre part, un événement Facebook a aussi été créé pour l’occasion afin de doper les signatures CLIQUER ICI
Nous vous encourageons vivement à envoyer l’invitation à cet évènement FB au maximum d’amis possible !
Jean-Jacques Hazan,
Président FCPE

France 2 - Journal de 20 H du 18 - 04 - 2011

Dégradation du service public, Délégation au privé

Dans la série des dégradations du service publique d'éducation, il y a aussi le domaine de l'orientation qui est sévèrement touché. Nous avons tous connu des conseillers d'orientation dans les établissements scolaires que nous avons fréquentés, aujourd'hui il s'agit d'une autre espèce en voie de disparition à l'école publique  ... ! K.L.G

lundi 18 avril 2011

Mardi 19 avril au conseil municipal de Brest à 17h

Petits rappels de rendez-vous :
Mardi 19 avril au conseil municipal de Brest à 17h

Nous avons la possibilité de nous exprimer au nom du collectif « école publique en danger » ce mardi en début de conseil municipal .

Un texte est en cours d’élaboration, n’hésitez pas à nous communiquer (jusqu’à demain midi) toutes les remarques ou positions que vous souhaiteriez voir abordées. Katell s’est proposée pour lire le texte lors de la séance. La présence, en soutien, de parents des différentes écoles de Brest est évidemment souhaitable dans la mesure des disponibilités des uns et des autres .

Proposition de réunion du collectif sur Landerneau après les vacances de Pâques.

La date reste à définir car des parents d’élèves continuent à mener des actions au sein de leurs écoles ou communes avant et après les vacances . Nous sommes en contact avec les parents des écoles publiques de Landerneau et sa périphérie pour organiser un nouveau rendez-vous du collectif. L’idéal serait un rendez-vous avec une présence plus large des parents d’élèves des écoles du Finistère.

Si certains d’entre nous peuvent continuer à faire le lien avec d’autres écoles du Finistère ce n’est que mieux pour diffuser l’info en plus du blog.

mercredi 13 avril 2011

Besançon: Même à reculons, ils ne lâchent rien..



Le collectif des parents et enseignants en colère  « École en danger 25  »  ont appelé hier à effectuer une marche à reculons dans les rues de Besançon. Belle performance! Plus de d'images ici

mardi 12 avril 2011

Le Télégramme: Carte scolaire. Les parents d’élèves rencontrent le député





Hier, une délégation de parents d’élèves des écoles du Tourous, Ferdinand-Buisson et Kergréis a rencontré le député Jacques Le Guen. Ensemble, ils ont évoqué les suppressions de postes décidées par l’inspection académique dans la ville.
'' Le député Le Guen nous a déclaré être '' tout à fait d’accord '' avec nous et nous a invités '' à maintenir la pression auprès de l’inspection académique''. Il s’est engagé a demander aux services du ministère de revenir sur leur décision et de prendre en compte les spécificités de nos écoles '', commentaient les parents à l’issue de l’échange.
Ces derniers assurent qu’ils maintiendront la pression par de nouvelles actions. Ainsi, ont-ils l’intention de solliciter un entretien avec le sénateur François Marc et d’organiser un pique-nique républicain après les vacances de Pâques.

Collectif enseignants parents de Besançon et ses environs.

Mardi 12 avril ON LACHE TOUJOURS RIEN !
Manif et Printemps de l’école

18h30 : manifestation à l’envers : départ de la préfecture et arrivée place de la Révolution, en marche arrière (l’école recule, nous aussi !)

20h : soirée "printemps de l’école" place de la Révolution (musique, interventions diverses)
Voir les liens suivants du collectif des enseignants et parents en colère de Besançon et ses environs.
 Contact: parents_en_colere@yahoo.fr
Cliquer ici pour voir le Blog
Cliquer ici pour voir le site
fil twitter : http://twitter.com/ecoleendanger25 compte @ecoleendanger25

Ca vaut mieux qu'un long discours....

Séquence issue du travail commun d’enseignants du primaire, de parents d’élèves, de comédiens et de militants de la compagnie NAJE (Nous n'Abandonnerons Jamais l’Espoir).



lundi 11 avril 2011

Charlie Hebdo: Ras les palmes ! L'appel des 47

Dessin CHARB - Charlie Hebdo

 Près de deux mois après l'édition de l'appel des 47, leur lettre reste d'actualité. A lire ici ou sur le site de Charlie Hebdo


Monsieur le Ministre,
Nous, proviseurs, principaux, directeurs d’école, inspecteurs, conseillers pédagogiques, formateurs, conseillers d’orientation, professeurs des écoles, en collèges, lycées et universités, enseignants chercheurs, documentalistes, sommes fiers et heureux de servir ou d’avoir servi l’école de la République française. Le ministère de l’Éducation nationale a reconnu notre engagement, notre compétence et notre dévouement dans cette tâche en nous honorant d’une distinction dans l’ordre des Palmes académiques.

Mais nous constatons aujourd’hui, avec une infinie tristesse, que l’Éducation nationale souffre de plus en plus d’une politique où la logique comptable et la notion de rendement ont pris le pas sur toute réflexion pédagogique et sociale : depuis quelques années, l’école que nous avons aimée et construite est progressivement désorganisée, dégradée, et disparaît. Nous n’y retrouvons plus les idéaux et les valeurs que nous y avons portés.

La liste des mesures qui vont contre l’école, les enfants, les étudiants et les enseignants est déjà bien longue : suppression, cette année encore, de 16 000 postes qui s’ajoutent aux 50 000 de ces trois dernières années ; suppression de la formation des enseignants (IUFM); suppression de la carte scolaire ; remise en cause de la scolarisation des moins de trois ans ; prime aux recteurs, etc.

Accepter les Palmes académiques, c’est aussi cautionner une orientation politique : nous récusons énergiquement celle que vous mettez en place. Et aujourd’hui, notre désaccord avec la nouvelle institution devient si grand que, pour ne pas être identifiés à elle, pour ne pas nous renier, notre conscience nous conduit à accomplir le geste symbolique de vous rendre nos Palmes académiques.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, nos salutations attristées.

Dans Charlie Hebdo du 16 février 2011, l'appel, la liste des premiers signataires et les textes de soutien officiel de Sauvons la recherche et des Désobéisseurs.